lundi 8 octobre 2012

Happy



Dimanche 7 Octobre
Nous sommes heureux de fêter le premier anniversaire de Musiculteur.  Merci à vous auditeurs, grâce à qui l’aventure continue. Merci aux artistes et aux producteurs, qui nous font confiance depuis la création de notre antenne.

Que la récolte soit toujours aussi bonne !

Coquillages et crustacés



A l’heure où la pluie s’abat sur Paris, goûtons avec nostalgie au doux bruit de la mer et du sable entre les doigts de pieds.


3 minutes sur mer, Dimanche 9 Septembre aux Buttes Chaumont

Bluffés par leur prestation lors du concert « Release party » au Divan du Monde, nous en redemandons encore. Le public, venu assister au Festival Silhouette pour les uns ; pique-niquer en famille pour les autres, est sagement assis dans l’herbe.  Ambiance bon enfant en ce dimanche de fin d’été.

Nos deux compères se lancent dans le set un peu crispés, trop de monde sur la pelouse, un bon entrainement pour la fête de l’Huma la semaine suivante ! Deux chansons plus tard, Guilhem Valayé retrouve sa verve et son timbre abrupt. Le plaisir de les écouter jouer reste intact, le groupe a réussi à captiver un auditoire qui n’était pas forcement le sien en cette soirée de projection de courts métrages. 45 minutes de chant bucolique,  « le jardin » en bouquet final.




Sarah w. Papsun, Vendredi 7 Septembre à la Plage du Glazart

Ambiance paillotte corse, chaises longues, sable et cocktails à gogo. Point de miss camping, mais « des » Sarah en pleine forme !  Autant nous étions loin de la scène lors du Festival Chorus, autant nous sommes ici aux premières loges. Derniers arrivés, premiers devant  pourrait être la devise de cette soirée. Six mois se sont écoulés entre les deux sessions, le groupe prenant de l’ampleur et de l’aisance scénique. Une joyeuse folie les saisie : le guitariste lance son instrument dans la foule pendant que deux spectateurs se dandinent dans des sacs à patates, version champignons hallucinogènes. Un autre, cagoule en laine sur la tête, fait son apparition sur le chant scandé de « Kids of guerilla ».
L’énergie est contagieuse, mes pieds sautillent tout seuls, agités d’une envie de danser (jusqu’au bout de la nuit !).
Un petit coup de gueule cependant se glisse dans ce billet : était-ce  l’effet plage et transat qui  a détourné l’ingé son de son activité ? Toujours est-il que le chanteur s’en est trouvé aphone. Big up pour lui qui a su tenir la barre !